Playru sentis le poids de chacun des coup du monstre berzerker se répandre dans ses bras. La créature aveugle ne voulais qu'une seul chose, c'était de réduire le zora en bouillie. Le Zora sentis ses force le lâché peu à peu, et pour ne rien arranger il était à quelques centimètres du feu de camps. La chaleur des flammes n'as rien d'enviable à un Zora, encore moins si il est entrain de pratiqué des efforts physique difficile tel qu'affronter un bokoblin enragé. Tout semblé perdu, encore un coups et la garde du Zora sera une histoire aussi ancienne comme le peuple qui bâtis les ruines dans lequel il se débat en ce moment.
Le bokoblin leva sa batte encore une fois, criant de rage la perte de ses camarades et de sa vue avant de...
« HEY ! » rugit une voix avant que le bokoblin ne se prenne une pierre sur l'épaule. Le monstre s'arrêta net. Ce dernier se releva lentement pour faire face à la source de l'appel faisant des mouvements de tête horizontaux. Playru en profita pour se dégager de la prise du bokoblin et s'éloigner du feu. En observant, il pus voir la jeune femme se déplacer d'un pas confiant avant de reprendre
« Je suis là ! ».
( Mais que fait-elle ? Elle vas se faire tué ?! ) pensa le Zora voyant que la demoiselle aux cheveux ébènes n'était guère armée. Mais l'être amphibolique compris l’ingéniosité de sa camarade de fortune et la stupidité de son adversaire quand il vit le bokoblin chargé dans les flammes du feu de camp.
( Ne sont-il pas sensé percevoir la chaleur ? Même un aveugle sentirai la chaleur du feu de camps. ) continua de pensé le Playru oubliant que pas tout les êtres vivant ont la même intolérance à la chaleur que les Zoras.
Le bokoblin se retrouva à traverser le feu de camp qui eut le temps de se répandre sur son pagne, en plus des braises qui mordirent ce qui lui servait de pieds. Le rageux se mit soudainement à sautiller sur place une fois hors du feu, tentant d’éteindre avec difficulté la flamme qui dévorait ce qui lui servait de vêtement.
La jeune femme vint au prés de Playru et l'aida à se relever,
« Si t’en as encore la force, il est cuit ! ».
« Je vous en remercie mademoiselle, vous m'avais encore sauvé la vie... » Lui répondis Playru,
« Il me reste encore un peu de force... Mais il y a des chances qu'il faut que j'aille puisé dans mes limites... » continua-t-il en se relevant. Il défit le nœud de sa cape gorgé de sang et d'un ton plus que sérieux demanda à la jeune femme,
« Mettez-vous à l’abri, et bougez le moins possible. Je ne souhaiterais guère vous blesser par accident. ».
Sur ces mots, la jeune femme partis se mettre à couvert derrière d'autre morceaux de ruines. En lâchant sa lourde cape, le Zora révéla une peau plus foncé et marqué par les batailles et le temps. Playru pris une partie de sa cape imbibé de sang, la posa contre ses narine, ferma les yeux et pris une très grande inspiration.
Le sang imprégna son odorat, la faim l'appela de plus en plus, son rythme cardiaque accéléra, sa bouche saliva de plus en plus, et ses douleur ignoré. Playru n'était pas qu'un simple poisson, non, ce Zora était un prédateur, Playru est un Zora requin. Et le requin en lui a FAIM. Le regard aiguisé du Zora était attiré par les mouvement du bokoblin aveuglé et enflammé. Playru courus de vive allure contournant le feu de camp et gagnant de la vitesse, son cri de rage mélangé aux gargouillement de son ventre donna un son montueux a terroriser un village aux complé. Par peur le bokoblin fit quelques pas en arrière tentant d'esquivé un coup de lame. Mais le coup fut si rapide que l'air se mis à sifflé autour de la lame devenue presque imperceptible tant elle bougé vite, le pauvre bokoblin ne sentis qu'après coup qu'il venait de perdre la moitié de son avant-bras gauche. La créature hurla de douleur. Le Zora devenue berzerker fit tourné
Les Larmes rapidement entre ses deux main en
8 horizontale. Les deux têtes de l'arme bougèrent tellement vite qu'elles laissa derrière elles des images rémanente formant en face du Zora un papillon argenté sifflant un son inquiétant avant de se mettre en position de combat purement offencive. Le bokoblin aveuglé dans un mélange de peur et de rage se lança sur le Zora pour lui donner des coups violent, et Playru répondis de façon tout aussi violente. Les deux berzerkers s'échangèrent des coups aveugles et violents ne tenant sur leur pied que par la conviction de leur rages. Ce n'était pas un simple combat à mort, mais un combat de volonté, celui des deux qui a une plus grande volonté de survivre avait être le seul vainqueur de ce combat.
Après une longue minute d'échange, les coup du Zora commencèrent a avoir de plus en plus de difficulté à attaquer le cuir du bokoblin, est-ce la lame ou sa rage qui s’émousse ? Voire les deux ? Et les coups du bokoblin ne cessent de pleuvoir comme le sang de chacune de ses blessure. Playru était entrain de perdre et il le savait. Dans un dernier effort, il mit toute sa force dans une dernière tranche tout en hurlant tel une bête monstrueuse, tranchant ainsi l'épais cuir du bokoblin. La créature ensanglanté levas sa batte pour assené ce qui pourrais être le coup de grâce contre le Zora, mais Playru fit rapidement un tour de son arme pour faire une charge de la pointe de la tête en forme de diamant dans la plaie ouverte. Le son horrifique de l'arme traversant les cotres, les organes et la colonne vertébrale de la créature raisonné dans tout le champ de bataille. La créature empalé sur
Les Larmes lâcha un hurlement bestial alors que Playru souleva son adversaire à la pointe de son arme pour l'achever en plantant
Les Larmes dans le foyer du feu de camp. Un cri porcin sorti de la gueule de la créature alors qu'elle commença à perdre la vie dans les flammes. Une fois le montre mort, Playru posa son pied triomphant qur la bête et retira
Les Larmes du corps bokoblin.
« C'est... C'est bon... Vous... Vous pouvez... Sortir... » dit-il avec difficulté avant que toute les douleurs du combat ne lui viennent d'un coup. Il se laissa tombé en arrière, toujours conscient,
« J'ai... faim... Je n’arrive guère à boucher... » termina-t-il avant d'avoir un fou rire douloureux en voyant que la viande de sanglier pour laquelle il a fait tant d’effort a fini carbonisé comme du charbon.